Bienvenue chez Lugdivine, Musiques sans frontières
Le spécialiste de la pédagogie musicale
Tous les outils et les instruments pour les musiciens :
Instruments de musique, accessoires, CD, DVD, Livre-CD & contenu multimédia…
Caroline est née à Genève en juin 1984.
Elle a toujours été bercée par la musique puisque son père est musicien professionnel (chant, guitare, harmonica, cor des Alpes!) et que sa mère, de temps en temps, jouait du piano à la maison. C'est donc très naturellement qu’elle a commencé la musique (rythmique) à 4 ans et le piano à 6 ans, et dès l'âge de 15 ans elle a su qu’elle en ferait mon métier.
Elle a continué le solfège jusqu'au à ces études professionnelles à l'institut Jacques Dalcroze pendant 4 ans, qui ont été suivies d’un complément de formation au Conservatoire de musique de Genève. La voilà donc enseignante à l'école primaire.
Lorsqu’elle prépare ses cours, elle a à cœur de se renouveler sans cesse, de tester de nouvelles choses et de captiver au maximum ses élèves. Et voilà pourquoi elle a commencé à composer des chansons, pour qu'elles correspondent à ses élèves, à leur environnement, aux thèmes abordés en classe...
Et depuis qu’elle est maman de deux petites filles, les sources d'inspiration ne manquent pas !
Chez Lugdivine :
6058 : CD la boîte magique
Après avoir suivi les enseignements de Fabrice Marandola en percussions au Conservatoire régional de Grenoble, Pierre Olympieff intègre à l’âge de dix-neuf ans le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans la classe de Jean Geoffroy où il obtient son Master II en 2010.
Parallèlement à ces études musicales, il participe à « l’Orchestre Français des Jeunes », sous la direction de J.C. Casadesus et J.L. Cobos, joue dans diverses formations orchestrales professionnelles tels l’ensemble Intercontemporain, l’Orchestre National de Lyon, l’Opéra théâtre de St Etienne, sous les baguettes de grands chefs comme entre autres P. Edvöes, G. Amy, J. Märkl et S. Mälkki.
Depuis quelques années, Pierre Olympieff porte une attention toute particulière à son activité de chambriste ; il co-fonde l’Ensemble TaCTuS et joue régulièrement le répertoire du XXème et XXIème siècles avec d’autres formations.
Également passionné par l’informatique et les nouvelles technologies, Pierre Olympieff travaille en collaboration avec des compositeurs français (A. Petit, K. Deltroy, D. Peyré, D. Coubes) afin de développer le répertoire de musique mixte (électroacoustique) pour percussions. Certaines des œuvres composées sont données lors de festivals reconnus comme les 38° Rugissants ou Enaction in Art. En 2010, Pierre Olympieff participe à la Biennale d’Art contemporain de Venise en tant que soliste. Cette même année ainsi que deux ans plus tard, il est invité à la Colorado University (USA) afin de donner des concerts et des masters-classes sur la percussion française.
Parallèlement à son activité de scène, Pierre Olympieff développe un fort intérêt pour la pédagogie. Titulaire du Master de pédagogie, il enseigne les percussions au Conservatoire de Neuville sur Saône (Lyon) et co-signe un ouvrage pédagogique traitant de la création musicale par le biais des nouvelles technologies aux éditions Lugdivine.
Chez Lugdivine :
1029 : De l'informatique à la création musicale - Vol 1
1032 : De l'informatique à la création musicale - Vol 2
(disponible en mars 2014)
Initié dès le plus jeune âge à la musique par sa famille, Raphaël Aggery intègre successivement les conservatoires de musique de Saint-Raphaël et de Nice, puis entre au CNSMD de Lyon en 2000 dans la classe de percussions dirigée par Jean Geoffroy, où il obtient son DNESM quatre ans plus tard.
Amoureux de la musique de chambre, il intègre les Percussions Claviers de Lyon en 2001, avec lequel il participe à la création de plusieurs spectacles (Les Folies d’Offenbach, Le coq d’or, West Side Story, Bells are ringing). Il créé également en 2001 le Trio Yarn, avec lequel il gagne la 5e édition du concours de l’IPCL au Luxembourg. Cofondateur de l’ensemble TaCTuS en 2011, il est aussi le batteur de l’ensemble de cuivres et percussions 7th Art Orchestra. Grâce à ces projets variés, il se produit en France comme à l’international dans des festivals renommés : Les Flâneries (Reims), Les Eurockéennes (Belfort), TIPC (Taiwan), Pasic (USA), Festival Cervantino (Mexique), etc.
Passionné d’arrangement depuis toujours, Raphaël effectue de nombreuses transcriptions pour divers ensembles instrumentaux dont la Rapsodie Espagnole (M. Ravel), les Variations Goldberg (J.S. Bach), 5 Petites pièces (D. Badault), The nightmare before christmas (D. Elfman) et signe les arrangements de la soirée de clôture des XXIe Choralies à Vaison-la-romaine. En 2013 il réalise le disque « Sports et Divertissements » produit par les Percussions Claviers de Lyon et consacré à la musique d’Erik Satie.
Depuis 2012, il est également « Graveur musical » pour différentes maisons d’éditions (Editions Lugdivines, Alfonce Productions) ainsi que pour différents compositeurs (Thierry de Mey, Thierry Pecou, François Narboni, Martin Moulin…). En 2013, il cosigne un ouvrage pédagogique traitant de la création musicale par le biais des nouvelles technologies aux éditions Lugdivine, le volume 2 est prévu pour 2014.
Chez Lugdivine :
1029 : De l'informatique à la création musicale - Vol 1
1032 : De l'informatique à la création musicale - Vol 2
Robert Hébrard a toujours pratiqué, de façon assez autodidacte, peinture, sculpture, musique, architecture. Aussi, dès qu’il cesse d’enseigner la philosophie, il invente un chemin personnel de création artistique, alliant intimement musique et arts plastiques. Après plusieurs séjours d’études musicales à Bali puis en Afrique, il crée une grande famille d’instruments de percussion dont il fait varier formes et dimensions jusqu’au gigantesque. Désormais ce sera sa spécialité : l’Architecture Musicale.
En 1981 il crée le GRIMUS (groupe de recherche sur l’instrumentation musicale). C’est dans ce cadre qu’il développe ses divers secteurs d’activité : recherche fondamentale en acoustique instrumentale, réalisations pour des compositeurs et pour le théâtre musical, formation musicale, enseignement du balafon, composition, spectacles vivants, architecture musicale.
En 1995 il met fin à cette forme associative et continue son activité comme artiste libre. Aujourd’hui il a installé ses ateliers près de Vendôme où il se consacre, à côté de la facture instrumentale, à faire vivre un de ses instruments préférés : l’Orgue à angklung.
R..Hébrard.a créé de nombreux instruments pour G.Aperhis, I.Xénakis, F.B. Mache, Bernard Lubat , Steve Laccy, Ariane Mnouchkine, Roland Auzet….
Architectures Musicales : les Villages Musicaux d’Anduze et de Rennes Le Château, La Maison du Futuroscope, Le Musée des instruments de Montoire, L’oiseau de feu de Tanger…
Expositions : en France Le Centre Pompidou, Le Musée d’Art Moderne, La Cité de la Musique, Musicora, La Chartreuse de Villeneuve les Avignons, Le Barbican Center à Londres,installations à Venise, Florence, Palerme…
Nombreux concerts avec le groupe ONKRR (Pablo Cueco, François Bedel, Sylvain Kassap, R.Hébrard) en France et à l’étranger, puis avec le groupe africain FARAFINA.
Aujourd’hui Robert Hébrard a mis en chantier un nouvel instrumentarium scénique pour la prochaine création avec Roland Auzet et la danseuse indienne Arushi Mugdal.
Chez Lugdivine :
Kutu Wapa
Balafon
Lithophone
Dominique Faure commence très tôt l’apprentissage de la guitare auprès de son père qui enseigne cet instrument puis suit un parcours classique en flûte traversière.
Sensible dès l’adolescence aux musiques traditionnelles et anciennes, il entreprend à la fin des années 1970 un collectage de danses et musiques dans les Alpes du Sud.
Il crée dès lors différents ensembles pour diffuser et transmettre cet héritage par des cours, concerts, bals et enregistrements.
Passionné par la pédagogie, il se forme en particulier auprès de l’Association internationale Willems et suit différents stages et congrès de l’Institut Dalcroze à Genève. Ces 2 formations ont en commun le lien très marqué entre musique et mouvement corporel.
Il compose suite à ce cursus 12 chansons d’intervalles ascendants et descendants, chaque intervalle étant représenté par un animal (de la puce, la seconde mineure, au diplodocus, l’octave) qu’il enregistre en collaboration avec le professeur de musique de l’Ecole normale de Digne et le Conseiller en pédagogie musicale du département.
Suivant parallèlement des études aux Beaux Arts, une rencontre entre musique, danse et arts plastiques se dessine progressivement et sera dès lors sa ligne directrice.
Il enseigne dans des écoles maternelles et primaires, foyers ruraux, MJC ainsi qu’à l’École nationale de musique des Alpes de Hautes Provence, et transmet à son tour pédagogie générale et appliquée à la musique, la danses et les arts plastiques par des ateliers destinés aux enseignants et pour le CNFPT.
Pratiquant jusque-là des instruments du Moyen Age, de la Renaissance et traditionnels du sud de la France, la découverte de la contrebasse l’ouvre au Jazz, qu’il pratique en trio, et aux musiques d’Europe centrale et des Balkans.
Il écrit le conte musical « Guilhem, Guillemette et le dragon Gentil », qui donne naissance au « Bal de Guilhem et Guillemette » suivi récemment d’un deuxième conte musical, se déroulant également au Moyen Age, intitulé « Le Noël des animaux ».
Passionné depuis son plus jeune âge par le Moyen Age il crée l’association « La Citole » afin de faire découvrir et pratiquer musiques, danses, contes musicaux, instruments par des concerts-animations, enluminure, taille de pierre, héraldique, costumes et bien d’autres choses encore que vous pouvez retrouver sur le site www.lacitole.org.
Chez Lugdivine :
1089 : Le bal de Guilhem et Guillemette